Tout savoir sur Harry Potter à l’école des Sorciers

A moins d’avoir été la victime d’une abduction extraterrestre au début des années 2000, impossible d’être passé à coté de la version ciné de la saga fantastico-teenage Harry Potter, transposée sur grand écran par Chris Columbus à l’aube du nouveau millénaire. Les tribulations initiatiques du sorcier binoclard ont déclenché un tel fandom tsunamique qu’il serait aisé de croire, cinq ans après la sortie de l’épisode final, que la saga ait déjà amplement révélé jusqu’à son ultime secret. 

Rockyrama improvise un petit numéro de prestidigitation en essayant de vous surprendre encore avec ces quelques petites infos bonus sur le film.

L’acteur de 65 ans, qui a également joué dans deux James Bond fût le premier a rejoindre la version cinématographique des aventures du jeune sorcier. J.K Rowling elle-même souhaitait voir l’acteur dans le rôle d’Hagrid.

Avant d’être utilisée sur le film Harry Potter, la locomotive utilisée pour devenir le fameux Poudlard Express était en service depuis 1937. De son vrai nom le “5972 Olton Hall”, elle appartient à la Great Western Railway.

Avant de devenir réalisateur de films familiaux à succès (Maman j'ai raté l'avion!, Madame Doubtfire) Chris Colombus a débuté sa carrière en tant que scénariste pour Amblin Entertainment la boîte de production créée par Steven Spielberg, Kathleen Kennedy et Frank Marshall. On lui doit notamment les scripts de Gremlins, Les Goonies et Le secret de la pyramide. 

Robin Williams ainsi que l’actrice Rosie O’Donnell avaient proposés à l’époque de figurer dans le long métrage. L’acteur rêvait d’avoir le rôle d’Hagrid, à tel point qu’il proposa à la production de ne pas être payé pour ce dernier.

On retrouve deux collaborateurs récurrents du célèbre cinéaste australien. Le directeur de la photographie John Seale à l'œuvre sur Lorenzo et Mad Max : Fury Road, oscarisé pour Le patient anglais de Anthony Minghella en 1997, ainsi que le monteur Richard-Francis Bruce à l'œuvre sur Mad Max : au delà du dôme du tonnerre, Les sorcières d'Eastwick et Lorenzo. 

À l'origine Spielberg souhaitait transposer l'intrigue aux États Unis et confier le rôle principal à Haley Joey Osment (Sixième Sens) des choix qui déplurent à J K Rowling qui souhaitait que Terry Gilliam assure la réalisation. Ce dernier ne fut pas retenu en raison de ses rapports houleux avec les studios.  

À l'origine James Horner, collaborateur de James Cameron et Jean-Jacques Annaud, devait signer la partition musicale. En raison de conflits avec la production il fut remplacé par John Williams.

L’auteur révéla sur son site internet qu’elle fût considérée pour jouer le rôle de la mère d’Harry Potter dans la scène du miroir. Elle refusa finalement le rôle de Lily Potter qui revint finalement à Geraldine Somerville.

C'est le studio britannique fondé par le défunt créateur des Muppets et Dark Crystal qui c'est chargé en partie des animatroniques du film.