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Space movie : les 10 plus belles références du cinéma

Les aventures et les voyages dans l'espace ont toujours fasciné l’Homme. L’épopée spatiale est un thème qui suscite tant de questionnement et de mystère qu’elle en est devenue une source d’inspiration infinie pour de nombreux écrivains, cinéastes...
Space movie : les 10 plus belles références du cinéma

Les aventures et les voyages dans l'espace ont toujours fasciné l’Homme. L’épopée spatiale est un thème qui suscite tant de questionnement et de mystère qu’elle en est devenue une source d’inspiration infinie pour de nombreux écrivains, cinéastes et autres artistes. 


Au cinéma par exemple il existe une multitude de films qui ont exploré le sujet à travers des prismes différents. La guerre, la survie, le voyage et l’Histoire en font partie. Pour vous en donner un aperçu, nous vous proposons ici un palmarès des plus beaux films sur l'espace que l'histoire du cinéma ait connu. Voici 10 belles références, proposées par le site Taste of Cinema et que nous sur-validons ici à la rédaction, à revoir ou à découvrir sans plus tarder : 


Dark Star (John Carpenter, 1974)

Premier long métrage et première intrusion du réalisateur venu d’ailleurs dans la SF, Dark Star, avec ses FX ultra cheap, ses sound effects cosmiques cartoonesques, et son jeu d’acteurs amateurs émeut toujours le fan moyen de Carpenter… une valeur sentimentale en quelque sorte. 

Interstellar (Christopher Nolan, 2014)

Nolan et sa propension à faire cogiter ses spectateurs se smashent dans la voie lactée pour nous faire un peu flipper sur l’avenir : Terre en perdition, déménagement potentiel de toute l’Humanité sur une autre planète, trous noirs, et tout un tas d’autres éléments anxiogènes constellent le film. En tentant de rendre son oeuvre la plus réaliste et scientifiquement plausible possible, Nolan propose au spectateur un voyage interstellaire méditatif quasi introspectif. Vers l’infini et l’au delà, comme dirait l’autre. 

Europa Report (Sebastien Cordero, 2013)

En utilisant le bon vieux procédé du found-footage, Sebastian Cordero délivre une oeuvre visuellement innovante qui floute allègrement la frontière entre réel et fiction. Son récit de cette équipe d’astronautes à la recherche de vie extra-terrestre en situation de crise ne laisse définitivement pas le spectateur indifférent.

Alien (Ridley Scott, 1979) / Aliens (James Cameron, 1986)

Ne pas inclure les deux premiers volets de la saga horrifique spatiale la plus marquante de tous les temps dans cette liste aurait été une pure hérésie. Nous ne vous ferons pas l’affront ici de vous résumer le plot du film, au risque de nous retrouver carbonisés sur le bucher des cinéphiles anonymes. 

Moon (Duncan Jones, 2009)

Sam Rockwell est envoyé sur une station lunaire afin de collecter une ressource énergétique obscure censée contribuer à sauver notre peau, évidemment. Au bout de trois ans, Sammy commence à trouver le temps long, et attend avec impatience de retrouver sa famille. Quelques hallucinations et un accident étrange plus tard, il se retrouve nez à nez avec son clone… Rejeton indé des classiques type 2001 : L’Odyssée de l’Espace, Moon est, avec sa mise en scène atmosphérique et sa bande son intense signée Clint Mansell, un joli exemple du bon space movie.

Star Wars (George Lucas, 1977)

Le premier épisode de la saga la plus lucrative de l’histoire du cinéma est indéniablement gravé dans l’inconscient collectif, et a été amplement digéré par la pop culture. L’univers épique et cosmique tout droit sorti du néo cortex de George Lucas est indissociable du concept même du film spatial, un concept qu’il a importé du coté mainstream de la Force en quelque sorte.

Solaris (Andrei Tarkovsky, 1972) / Solaris (Steven Soderbergh, 2002)

Adaptées du roman de Stanislas Lem, les deux versions de Solaris, insondable planète qui confronte les habitants de la station gravitant autours d’elle à des simulacres de défunts ou autre souvenirs enfouis dans leur inconscient, adoptent chacun un sous texte alternatif. La version de Tarkovski offre une réflexion religieuse et spirituelle, alors que Soderbergh met l’accent sur l’aspect plus scientifique et universel du sujet.

2001: A Space Odyssey (Stanley Kubrick, 1968)

Chef d’oeuvre absolu du génial Kubrick, 2001 bouleverse en 68 le genre sci-fi qui jusque là était englué dans le carcan de la série B. Le film, esthétique triptyque sur l’évolution de l’Humanité, amène intelligemment le spectateur à se questionner sur son origine et sa place dans cet énigmatique univers.