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Pourquoi Die Hard est le meilleur film de Noël

Die Hard, en plus d’être l’un des meilleurs films de John McTiernan – peut-être le plus pur-, est souvent associé à l’expression film de Noël.
Pourquoi Die Hard est le meilleur film de Noël

Die Hard, en plus d’être l’un des meilleurs films de John McTiernan – peut-être le plus pur-, est souvent associé à l’expression film de Noël.

 

Bien qu’il n’en ait pas les caractéristiques traditionnelles – film familial, peu violent -, c’est celui qu’on préfère à Rockyrama. Il respecte la règle principale de ce sous-genre, à savoir tout simplement se dérouler à Noël. Et la deuxième, la plus essentielle : l’importance de la famille. Car John McClane cherche avant tout à sauver son couple. Quoi de plus festif que les retrouvailles avec l’être aimé ?  Die Hard, la convivialité avant tout.


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Surtout, il reste quelques crans au-dessus de films comme Home Alone ou Gremlins, et à un abîme d’écart avec The Grinch, La Course au jouet ou encore The Holiday. Il a mieux vieilli que Batman Le Défi. Qualité importante également : est-ce que Jack de l’Etrange Noël ou Tom Hanks dans Pôle Express déclament un Yipee-ki-yeah motherfucker en déboulant dans une pièce ? Ils n’ont tout simplement pas assez de Bruce Willis pour rivaliser. Qui plus est un Bruce chevelu au top de sa forme.

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On vous donne quelques anecdotes pour frimer et étaler votre culture en famille : le rôle a été proposé à Frank Sinatra, Richard Gere, Burt Reynolds and Robert De Niro. Quant à celui de Hans Gruber joué par le regretté Alan Rickman, c’est Sam Neil qui a refusé. A propos, la surprise chute finale de ce personnage n’est pas feinte : John McTiernan a fait lâcher l’acteur avant la fin du décompte lors de la cascade.


 A Noël, il est tentant de tomber dans le consensus pour voir des films que tout le monde s’accorde à trouver pas catastrophiques mais jamais réellement géniaux (Love Actually, le Noël de Mickey). Epargnez ça à tout le monde pour imposer un vrai classique, que les plus jeunes n’auront sûrement pas encore vu, que les plus vieux n’ont certainement pas assez vu. Un film simple, efficace et grandiose, accessible mais ingénieux.


Boris Biron